Markunda
Aurès s’installe dans le Luberon. Elle acquiert sur cette terre une maison, là
où la nature et la pierre la ramènent aux souvenirs, à des images de sa mère,
Yemma, à cet état de grâce où tout semble paisible. C’est donc l’occasion pour
la narratrice de revenir sur son arrivée à Paris en novembre 1971 depuis son
Algérie qu’elle n’avait jusque-là jamais quittée. C’est alors un parallèle nostalgique
entre les deux villes, entre ces deux vies bien différentes, la brève évocation
de sa rencontre avec celui qui sera son compagnon de vie, Bonny…
À
travers ce roman autobiographique, le lecteur est invité à suivre l’histoire
d’une vie où le déracinement et les souvenirs forgent le destin. La mémoire
s’exprime avec poésie et douceur, le rêve se mêle aux évocations du passé, la
nostalgie transcende les émotions… Ce texte est un voyage dans le temps et dans
l’espace, un hommage vibrant à la terre d’Algérie.
Markunda
Aurès vit à Paris. Psychologue de formation, elle est également musicienne.
Elle souhaite, à travers l’art du chant, préserver la mémoire et la culture des
Aurès. Ses auteurs de référence sont Faulkner et Kundera. Cet ouvrage est son
premier roman.
Source: Editions Theles
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